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 to the world we dream about and the one we live in now

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Billie Deveraux

Billie Deveraux


› age : trente-quatre ans
› point de compétences : 0
› messages : 5
› pseudo : pvris.
› faceclaim : leighton meester
› credits : okami

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MessageSujet: to the world we dream about and the one we live in now   to the world we dream about and the one we live in now EmptyLun 12 Oct - 17:09

billie deveraux
i need you so much closer
prénom › billie, maman n'avait jamais voulu connaitre le sexe de son enfant. elle n'était même pas certaine de la vouloir, sa gamine. alors les nom, elle n'y avait pas vraiment pensé. c'est le premier qu'elle a balbutié lorsqu'elle a posé son regard sur son enfant. nom › deveraux, le nom d'un père qui n'est pas vraiment le sien, d'un homme qui a fait office de figure paternelle. un nom qu'elle sait ne pas être le sien, mais les papiers d'adoption disent autrement. âge, date et lieu de naissance › trente-quatre années déjà à tenter de savoir qui elle est vraiment. trente-quatre années avec pour seules certitudes celles d'être née un premier juillet et d'avoir passé sa vie entière à windenburg. trente-quatre années et pourtant, elle a parfois l'impression d'en avoir vécu cent.   occupation › pédiatre. le coeur sur la main, l'amour inconditionnel des enfants et de leur bien-être, c'était comme une suite logique qu'elle en fasse un métier. statut financier › ($$$$$) son emploi de pédiatre lui permet de gagner convenablement sa vie et de pouvoir se permettre quelques excès, bien souvent des choses qui serviront de décoration dans son appartement. elle essaie aussi de redonner, Billie, à des oeuvres qui lui tiennent à coeur, lorsqu'elle le peut. orientation › hétérosexuelle, elle n'a jamais même pensé une seule seconde à une autre femme. jamais son regard ne s'est empli de désir pour les courbes féminines. ça n'a toujours été que les hommes.  statut civil › l'alliance qui a disparu de son annulaire après qu'elle ait répondu à cette appel, la voix d'une autre femme au bout du fil qui affublait son mari d'un petit nom doux. les insultes quittant ses lèvres, le regard sévère lorsqu'il est rentré ce soir-là. c'était peut-être irréfléchi, mais elle ne regrette pas une seule seconde. situation familiale › Né d'un père dont elle ne sait que très peu de choses, maman est toujours bien secrète lorsque Billie pose des questions. Après tout, elle s'est mariée, maman, à un autre homme. Un homme bien, papa sans qu'il ne le soit vraiment. Elle n'est pas de son sang et, quand bien même il essaie, elle a l'impression qu'il aime les autres enfants un peu plus qu'elle. Malgré cette impression de parfois ne pas se sentir à sa place, elle prend son rôle de grande soeur très au sérieux. Après tout, papa et maman ont parfois trop de boulot pour convenablement s'occuper de la marmaille - quatre autres enfants en plus de Billie - alors elle prend le relai. Elle les aime plus que tout et donnerait sa vie pour eux, comme maman le ferait elle aussi. en ville depuis › treize ans. elle y est née, mais le boulot de papa a fait en sorte qu'ils doivent quitter la ville, s'installer à selvadorada pendant quelques années, tandis qu'il dépoussiérait des artefacts. groupe › famous last words avatar › leighton meester credit › dublin


aspirationscompétences
Elle sait que c'est sans doute ridicule que d'espérer trouver le grand amour. Elle sait que les contes de fées n'existent pas, qu'ils ne sont que des histoires inventées pour faire rêver et pourtant. En regardant ces histoires à l'eau de rose, elle veut y croire. Elle se dit parfois même qu'elle l'a déjà trouvé son grand amour, mais qu'elle l'a perdu, que son unique chance est passée. Est-ce ce qu'elle sera jusqu'à la fin de ses jours, un coeur brisé qui tente par tous les moyens de se recoller?
éducation

bien-être


fitness

cuisine

logique


tell me more, tell me more
plus vieille d'une fratrie de quatre enfants, billie se perçoit comme une seconde mère pour les trois autres. elle se fait un devoir de veiller sur eux et d'être là qu'importe les circonstances. elle est une oreille attentive et sait garder leurs secrets. elle a rapidement cessé de compter les fois ou elle a menti aux parents pour les sortir du pétrin, ou elle a porté le blâme pour des choses qu'un des trois autre avait fait. elle ne regrette pourtant rien parce qu'ils passent avant elle, toujours.  × romantique qui ne s'assume absolument pas, elle vous dira que le film 10 Things I Hate About You est son plaisir coupable... La vérité, c'est qu'elle a regardé ce film plus de fois qu'elle ne peut le compter, connaissant presque toutes les répliques par coeur.  × Décidément  pas du genre à s'apitoyer sur son sort, elle est plutôt de ceux qui se plongent dans le travail pour oublier les aléas de la vie. Si bien que, suite à son divorce, elle est passée à deux doigts de faire un burn out. Dieu merci sa patronne l'a forcée à prendre une semaine de congé, à se changer les idées avant de revenir au boulot. Depuis, Billie essaie de vivre une vie un peu plus balancée.  × Le temps qui passe l'effraie. Ce ne sont pas les rides qui ne tarderont pas à se creuser sur son visage qui lui font peur. Non, elle sait que c'est le cycle naturel de la vie. C'est simplement qu'elle a trop conscience que la mort peut frapper n'importe quand. Elle voit la quarantaine approcher et sait qu'après, il lui en restera sans doute moins devant qu'elle n'en a derrière. × Elle n'a jamais vraiment posé de question à sa mère, Billie, sur son père biologique. Elle sait qu'il est décédé et voit bien dans le regard de sa mère une douleur certaine lorsqu'elle tente d'aborder le sujet. C'est pourtant quelque chose qui la travaille encore aujourd'hui de ne pas en savoir plus à son sujet. Elle compte bien faire des rechercher et tenter de découvrir qui il était, ce qu'il faisait de sa vie, ces choses-là. × De par son travail, elle s'implique beaucoup auprès d'oeuvres caritatives qui supportent les familles monoparentales. Elle voit bien des pères et des mères être à bout de souffle, tout mettre en oeuvre pour que leur enfant vivre une bonne vie et elle tient à aider ces familles. C'est pourquoi, non seulement elle redonne financièrement, mais elle organise, une fois par année, une campagne de financement pour amasser des fonds qui iront à diverses oeuvres caritatives qui viendront en aide à ces familles. × Bien qu'elle ait peu le temps lorsqu'elle travaille pour ces choses, Billie adore pourtant le maquillage. Elle en a une collection. Lors de ses journées de congé, elle aime bien se maquiller, se mettre belle, troquer le queue de cheval et le sarrau contre des vêtements plus élégants. Sa pièce favorite? Un jumpsuit. × Passionnée de décoration, elle voue un culte à Joanna et Chip Gianes. Elle a regardé toutes les émission de Fixer Upper possible, est abonnée au Magnolia Journal, possède les livres de cuisine de Joanna. Vous voyez, une véritable accro. Le design de son appartement est d'ailleurs inspiré d'un design assez minimaliste réalisé au cours d'une émission et qui fut un véritable coup de coeur. Ce fut une thérapie que de changer le décor de son appartement après son divorce. Plus une trace de son mari ici. Quel soulagement. × Certains diront que c'est pour palier à la fin de son mariage, mais Billie s'est retrouvée avec quelques plantes dans son appartement. Heureusement qu'elle a le pouce vert, aucune d'entre elles ne sont mortes jusqu'à présent. Elles sont sa fierté hors du boulot et vous les verrez sans doute sur Simstagram. × Elle y poste d'ailleurs souvent. Que ce soit son outfit of the day, ou une image pour sensibiliser les gens à l'une des nombreuses causes qui lui tiennent à coeur, le contenu y est très varié. Bien qu'on puisse penser, en y jetant un coup d'oeil rapide, qu'elle mène une vie de rêve, elle s'assure de temps à autre de poster des images qui sont peu flatteuses, des images d'elle en pleine crise d'anxiété, ce genre de chose, histoire que l'on n'oublie pas que la vie n'est pas toujours rose et que ce qui est posté sur les réseaux sociaux n'est qu'une parcelle de vérité. Ce ne sont là bien souvent que les meilleurs moments, l'image parmi une panoplie d'essais ratés.


pvris/marie
âge › le quart de siècle dépassé région › oh canada personnage inventé, scénario ou pré-lien › inventé comment vous avez connu le forum › il est de nous. vos impressions › je l'aime toujours. le mot de la fin ›  to the world we dream about and the one we live in now 2423893006


Dernière édition par Billie Deveraux le Lun 19 Oct - 9:24, édité 5 fois
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Billie Deveraux

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MessageSujet: Re: to the world we dream about and the one we live in now   to the world we dream about and the one we live in now EmptyLun 12 Oct - 18:01



where I stood was where I was To be
once upon another time
trigger warning pour ce premier paragraphe d'histoire : mention de viol.

(they don't know i used to sail the deep and tranquil seas)

J'ai préféré mettre sous spoiler comme ça peut choquer.:

(i'd hang the moon for it to shine on her sleeping)
Huit mois, trois semaines et deux jours plus tard, elle a pointé le bout de son nez. Elle n’avait pas encore de nom parce que maman ne voulait pas commencer à s’attacher à cet enfant. Elle avait pris sa décision, elle le donnerait en adoption. Elle n’avait même pas cherché à connaitre le sexe. Le moins elle en savait, le mieux elle se portait. Ce serait plus facile comme ça de le donner à une autre famille, une famille qui saurait s’en occuper, une famille qui en voudrait, qui ne penserait pas à la pire nuit de sa vie chaque fois qu’elle poserait son regard sur cet enfant. Et pourtant, lorsqu’elle a posé ses yeux sur cette petite fille, sa fille, elle n’a pas pu. Elle avait l’impression que son cœur allait exploser. Elle avait passé près de neuf mois à se répéter qu’elle ne deviendrait pas mère, et voilà qu’en une fraction de seconde, tout venait de changer. Elle fit l’erreur de la prendre dans ses bras, de la tenir tout contre elle, de détailler son visage qu’elle caressa du bout des doigts, tenir sa petite main dans la sienne et s’en était fini. Billie. C’est le premier nom qui sorti de sa bouche et c’est celui qui resta.

(you shine so bright, you put the sun to shame.)
Dire qu’elle se souvient avec exactitude du moment ou elle l’a rencontré serait mentir. Elle ne se souvient pas de ce qu’elle a pensé la première fois que son regard a croisé le sien. Elle ne sait plus ce qu’il portait, encore moins  ce qu’elle portait. Probablement une petite robe à fleurs, choisie par sa mère,  un truc qu’elle regarderait sans doute avec dédain aujourd’hui. Après tout, la mode a tellement changée depuis. Elle ne se souvient pas parce qu’elle a l’impression qu’il a toujours fait parti de sa vie, incapable de se remémorer un moment, un jour ou il n’était pas dans le paysage. Billie, elle vous dira que les chansons d’amour mentent. Elle vous dira que c’est faux que l’on ressent des papillons dans l’estomac lorsqu’on croise le regard d’une personne que l’on aime, que le cœur qui palpite lorsqu’on est près. Parce que sans doute qu’elle aurait ressenti tout ça lorsqu’elle était gamine, pas vrai? Et elle s’en souviendrait, du premier moment ou leurs chemins se sont croisés. Elle se souvient par contre de sensations. Celle de sa main dans la sienne, leurs doigts s’enlaçant. De sa tête contre son épaule. De ses doigts dans ses cheveux, sa main posée contre son dos. De ses lèvres contre les siennes. Elle se souvient de ce sentiment qui envahissait son corps lorsqu’il était étendu là, à ses côtés, et que sa main effleurait la sienne. Elle était jeune, Billie, à l’époque, à peine entrée dans l’adolescence, on lui disait parfois qu’elle était trop jeune pour savoir ce que c’était que d’aimer comme ça, et pourtant, il est le premier à lui avoir volé son petit cœur, à lui avoir fait voir les étoiles.

(i'd give it up for just one more day with you)
Elle ne s’était jamais imaginée quitter Windenburg, Billie. Enfin, sans doute qu’avec le métier de ses parents, elle aurait du s’attendre, un de ces quatre, à s’envoler pour des contrées inconnues, mais comme elle vous le dira si bien, life is a bitch. Sa vie était pourtant belle. Elle était heureuse en amour, sa mère avait trouvé le bonheur, s’était mariée – au grand bonheur de Billie qui, même si elle était jeune, avait adoré voir sa mère essayer robe après robe. Une véritable princesse sortie tout droit d’un conte de fées. De voir sa mère enfin s’épanouir, s’ouvrir à quelqu’un était merveilleux et elle ne pouvait en être qu’heureuse. Abraham avait été un modèle de figure paternelle, à traiter Billie comme si elle était son propre sang. Ils étaient une famille heureuse, les Deveraux, alors le jour ou on lui a annoncé, à Billie, qu’ils devaient quitter la ville, celle qu’elle considérait être sa maison, elle n’a pas voulu. Sa vie entière était ici. Son futur était ici. Comment pouvaient-ils pensés un seul instant qu’elle voudrait partir avec eux, s’exiler à l’autre bout du monde? Adolescente qu’elle était, elle a fait sa crise avant d’entendre raison. Elle ne pouvait pas rester seule ici, quand bien même elle serait sous la garde de grands-parents aimants, elle ne pouvait pas simplement laisser sa mère et son beau-père partir à des milliers de kilomètres d’elle. Alors, le jour suivant, à l’heure du lunch, elle a pris le peu de courage qu’elle avait et a annoncé à Leonard, son copain, qu’elle quittait Windenburg. Les questions ont fusées et elle a tenté d’y répondre au mieux, retenant ses larmes aussi longtemps que possible. C’est le cœur brisé qu’elle est rentrée à la maison ce soir-là, les larmes roulant sur ses joues tandis qu’elle rangeait sa vie dans ces valises, toujours pas prête à dire adieu à cette maison qui était sienne, qui était leur.

Le regard rivé sur le paysage qui défilait, elle se remémora de bons souvenirs alors qu’ils passaient devant son école, puis le parc, en route vers l’aéroport. Maman lui avait dit que se souvenir de bons moments pouvait aider à apaiser la chose, mais Billie ne voyait pas comment tout ça l’aidait en ce moment. Les larmes coulèrent une fois de plus lorsqu’ils passèrent devant la maison de Leonard, lui disant au revoir d’un signe de la main une dernière fois, ridicule considérant que personne n’était à la fenêtre. Sans doute qu’il dormait encore. Poussant un soupire, elle monta le son de ses écouteurs et posa sa tête contre l’habitable, fermant les yeux et tentant de ne plus penser à rien. Tout ça était beaucoup trop douloureux.  

(those three words are said too much they're not enough)
Billie June Deveraux, veux-tu m’épouser? Dire qu’elle ne s’y attendait pas serait faux. Ils en avaient discuté trois semaines plus tôt. Enfin, pas de la demande, mais de leur futur, de ce qu’ils imaginaient. Ils étaient d’accord, tous les deux voulaient éventuellement franchir cette étape, mais Billie n’avait pas pensé qu’il lui ferait la grande demande si tôt. Les larmes aux yeux, elle l’avait regardé en secouant la tête, un oui, à peine audible derrière ses sanglots, s’échappant d’entre ses lèvres.

Il avait été patient depuis qu’ils s’étaient rencontrés quatre ans plus tôt. Elle s’en souvenait comme si c’était hier. Ils étaient assis un à côté de l’autre en cours de psychologie et s’étaient retrouvés en binôme pour un travail. Si leurs rencontres se limitaient au départ strictement à l’accomplissement de ce qui leur avait été demandé par leur enseignant, ils vinrent à se voir quasi quotidiennement, discutant de tout et de rien autour d’une pizza ou de 10 things I hate about you, le film favori de Billie. Elle a un faible pour Heath Ledger dans ce film. C’est d’ailleurs Can’t Take My Eyes Off Of You qui jouait en trame de fond lorsqu’il lui a demandé de l’épouser – à croire qu’il avait pensé à tout. Enfin, il aura tout de même du attendre près d’un an avant qu’elle daigne l’embrasser, trop tétanisée à l’idée qu’on lui brise le cœur. Elle le niera toujours, mais elle est, au fond, une grande romantique et elle attendait d’être certaine de vouloir passer le reste de ses  jours avec lui. C’est tout bêtement qu’elle a réalisé. Il dormait paisiblement à côté d’elle, la lune filtrant à travers les rideaux, éclairant sa peau, qu’elle a compris que si c’était ce qui se dessinait à l’horizon, elle serait heureuse.  Elle n’avait pas besoin de plus.

(you do not warrant long goodbyes)
Elle avait appelé son cabinet pour leur dire qu’il avait oublié son téléphone cellulaire. Je lui fais le message dès… Il vient tout juste d’arriver et fait dire qu’il retourne à la maison pour le chercher de suite. Il fallait quinze minutes pour se rendre à l’hôpital de leur appartement. Il en fallu quatre pour que le monde de Billie s’écroule. Un simple appel qu’elle a pris parce qu’elle savait que son mari attendait un appel important. Elle ne voulait pas qu’on pense qu’il se foutait de ce projet sur lequel il travaillait depuis des mois, sur lequel il bossait jour et nuit. Peut-être qu’elle avait été naïve en rétrospective. Elle aurait du se douter que quelque chose clochait, mais voilà, elle le sait, elle même ne compte pas ses heures. Elle aussi a accepté de faire plus d’heures parce qu’ils sont comme ça tous les deux, le cœur sur la main, le besoin des autres passant avant tout. Et pourtant, en entendant la voix de cette femme, Billie n’avait plus toutes ces qualités qu’on lui attribuait autrement. Disparue, la Billie qui peut passer l’éponge sur une omission, qui a le cœur gros comme la terre et qui pardonne à tout le monde pour tout et n’importe quoi. La Billie qui se pâmait devant son mari, qui aurait été prête à tout pour lui, pour son bonheur. Maintenant, elle ne désirait qu’une chose, c’était de lui arracher le cœur et le piétiner comme il avait pu le faire. Comment en était-il arrivé là? Avait-elle manqué à son devoir de femme, d’épouse? Elle ne parvenait pas à voir si les choses s’étaient détériorées au point qu’il ressente le besoin d’aller voir ailleurs.

Elle n’a pas été tendre ce jour-là Billie. Elle a crié, injurié, elle a – et elle a réalisé une fraction de seconde trop tard que c’était une mauvaise idée – lancé son téléphone pour qu’il se fracasse contre le mur. Elle était dans une colère noire, lui a dit ne plus jamais vouloir le revoir. Elle lui a lancé son alliance au visage parce qu’elle avait l’impression qu’il lui brulait la peau soudainement. Il est rapidement reparti au boulot et Billie, elle, a rapidement emballé tous ses effets personnels, les as mis dans un sac et, digne d’un bon film hollywoodien, les a mis avec les ordures. À lui de déterminer ce qui lui appartenait et ce qui n’était, au final, que bon pour la benne. Qu’il s’amuse.

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